L'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) a été ciblée par des réseaux criminels exploitant l'immigration illégale d'étudiants africains.
Depuis 2018, l'université a constaté un afflux suspect de candidatures, souvent traitées par des agences frauduleuses, offrant de fausses lettres d'admission en échange d'argent.
Après la pandémie, ces pratiques ont augmenté, avec des étudiants manipulés pour obtenir des visas sans intention de suivre leurs études.
L'UQAC a renforcé ses procédures, mais son image de « passoire » en raison de conditions d'admission laxistes a favorisé ces abus.
Cela a conduit à une baisse des inscriptions et à des répercussions négatives pour l’université, même si la majorité des étudiants étrangers sont bien intentionnés.
Écoutez Étienne Hébert, vice-recteur aux études, à la formation et à la réussite à l'UQAC, dans Le PM.