L'agresseur sexuel, Jérémie Perron, qui se fait maintenant appeler Jennifer Perron est de retour derrière les barreaux.
Selon Radio-Canada, les services correctionnels ont révoqué sa libération conditionnelle, après avoir appris qu'elle avait entretenu des relations sexuelles avec un couple grâce à la plateforme de rencontre JALF, dédiée aux fantasmes sexuels.
Parmi ses conditions, Jennifer Perron devait signaler à son agent de libération conditionnelle, toutes relations sexuelles ou amicales, ce qu'elle n'a pas fait.
Écoutez, l'ancien sénateur conservateur, Pierre-Hugues Boisvenu, qui estime que la commission de libération a failli à sa tâche dans ce dossier.