Concert concept
Iron Maiden a offert un concert d'une exceptionnelle cohésion au Centre Bell, mercredi, même en faisant impasse sur quelques-uns de ses succès.
Animé par Paul Arcand
Votre revue de presse est de retour. Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi.
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit à l'histoire de La Presse selon laquelle la DPJ de l'Estrie a manigancé pour séparer des triplés âgés de deux ans afin de les faire adopter.
«C'est un autre cas de tentative d'adoption arrangée [...] Une autre tuile sur la tête de la DPJ.»
Des situations similaires se sont aussi produites à la DPJ de la Mauricie–Centre-du-Québec qui a d'ailleurs été mise sous tutelle.
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente plusieurs sujets de l'actualité qui ont retenu son attention.
Parmi ceux-ci, les résultats d'un sondage de la firme Synopsis pour le compte de Cogeco Média, révèlent à quel point «les Québécois adorent leur voiture et aimeraient avoir des routes de meilleure qualité».
Autre perception populaire: les Québécois trouvent qu'il y a trop d’argent pour les pistes cyclables, mais pas assez pour les routes.
Autres sujets abordés
⦁ Inondations majeures dans plusieurs régions d'Espagne, dont Valence.
⦁ Itinérants et toxicomanes: la criminalité explose autour de la Maison Benoit Labre.
⦁ Les cours de francisation disparaissent dans le comté du ministre Bernard Drainville.
⦁ La candidate démocrate Kamala Harris invite les Américains à se débarrasser du «petit tyran».
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la situation à la DPJ à la suite de la démission de Catherine Lemay, la grande patronne du réseau, survenue en cours de journée lundi.
Dans La Presse, on apprend que d'autres cas d'inconduite sexuelle auraient eu lieu, dans des centres situés à Laval et en Montérégie, notamment.
«Lionel Carmant a l'air complètement dépassé et complètement débordé [...] Ça va de mal en pis à la DPJ [...] Je vous le dis, ça fait des années et des années que je suis ce qui se passe à la DPJ [...] Ce n'est pas simple. Il y a des intervenants qui font un travail remarquable. Mais, le ministre Lionel Carmant est débordé et il y a des ministres qui saute pour moins que ça.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente les informations de Radio-Canada selon lesquelles la directrice nationale de la DPJ, Catherine Lemay, a remis sa démission, à la demande du ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant.
Le départ de la grande patronne, qui avait été nommée en 2021, survient dans la foulée d'une enquête de La Presse révélant que neuf éducatrices du centre Cité-des-Prairies à Montréal ont été congédiées ou suspendues pour des inconduites sexuelles avec des résidents mineurs.
«La procédure est simple: "Madame, voulez-vous démissionner?" Et il semble que Catherine Lemay va le faire aujourd'hui [...] Mais rassurez-vous, le système se protège. Les mandarins ont quand même des fauteuils confortables. Mme Lemay va quitter son poste, mais va pouvoir conserver une fonction de sous-ministre adjoint [...] Elle n'a pas fait la job. On se demande ce qu'elle fout depuis sa nomination mis à part des tableaux et des rapports un peu vagues qui n'apportent pas de bien-être aux enfants. Donc, elle va s'en aller, mais elle va garder une job dans le système.»
Autres sujets abordés
Paul Arcand s’entretient avec Scott Price, le directeur musical de Céline Dion. Il revient sur leur impressionnante prestation aux Olympiques à Paris, sur les grands artistes qu’il a côtoyé au fil de sa carrière et nous révèle son grand amour pour la cuisine et la chasse!
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand brosse un portrait de la situation impliquant l'immigration et la francisation au Canada.
Le gouvernement de Justin Trudeau révise à la baisse d'environ 100 000 le nombre d'immigrants permanents prévus pour 2025.
«M. Legault dit que c'est une baisse qui n'est pas suffisante, qu'il faut faire plus [...], par rapport à ces cibles qui ont été fixées par le gouvernement du Québec; c'est sûr que c'est une partie de la responsabilité qui relève de la ministre [Christine] Fréchette, mais il y en a quand même pas mal dans la cour du fédéral.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse de jeudi, Paul Arcand réagit à la décision de Valérie Plante, la mairesse de la métropole, de céder sa place lors d'un prochain mandat.
Elle a annoncé mercredi qu'elle ne sera pas candidate aux élections municipales de 2025.
Plus de la moitié des Montréalais souhaitent que Valérie Plante n'obtienne pas un troisième mandat, a révélé un sondage.
Qui pourrait prendre sa place?
«Soyons sérieux, il n'y a personne qui a vraiment manifesté son intention d'être candidat; les partis municipaux ne sont pas trop trop riches [...] les mêmes noms reviennent. Dominique Anglade qui déjà dit non, David Heurtel l'ex-ministre qui mesure ses intérêts, le promoteur Luc Poirier serait intéressé, Mélanie Joly qui a déjà été candidate, Michel Leblanc de la Chambre de commerce, le départ de Valérie Plante ouvre le jeu...»
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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente le dossier de La Presse concernant la hausse du nombre de Québécois qui sont en attente d'une chirurgie.
Plus de 162 000 Québécois attendent de subir une intervention chirurgicale, selon les plus récentes données du ministère de la Santé. Le chiffre était de 115 000 avant la pandémie.
Plusieurs facteurs, dont la fermeture de plusieurs blocs opératoires et la pénurie de main-d'oeuvre, expliquent cette augmentation.
Avec tous les problèmes dans le réseau de la santé, Paul Arcand se demande si le gouvernement ne doit pas faire une plus grande place au privé.
«Partout dans le monde, en Suède, en France, on a des exemples de partenariats entre le public et le privé. Ici, au Québec, on ne veut pas trop faire le débat. On est assis sur des positions idéologiques et pendant ce temps-là, on a des patients qui attendent pour être opérés.»
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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente le retour du débat sur la laïcité en marge des événements survenus à l'école Bedford et des propos du chef péquiste Paul St-Pierre-Plamondon.
Le leader du Parti québécois souhaite renforcer la loi 21 sur la laïcité de l’État afin d'empêcher l'envahissement de la religion dans nos écoles. Il voudrait une plus grande mixité pour éviter la mainmise de certains groupes religieux.
«C'est vrai que c'est peut-être difficile d'établir une espèce d'engouement pour la culture francophone et les valeurs québécoises et ça fait ce qu'on appelle des "écoles multiethniques". C'est la réalité à Bedford et dans d'autres écoles de Côte-des-Neiges. Mais on fait quoi? On déplace des immigrants qui se concentrent dans certains quartiers de Montréal et on les saupoudre? On prend des petits de souche et on les envoie dans ces écoles? Quand même, avouons-le, c'est une opération qui n'est pas simple à concrétiser.»
«Le mot tabou, c'est le mot religion [...] La mosquée n'est pas loin, il y a des influences, il y a des questions culturelles, mais beaucoup de questions religieuses. Et je pense qu'il faut vraiment mettre l'accent là-dessus et ne pas se laisser distraire afin de ne pas avoir peur d'être accusé d'intolérance ou de racisme.»
- Paul Arcand
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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont les résultats d'un sondage publié dans Le Journal de Montréal qui démontre que les Québécois atteints de cancer ont dû attendre, en moyenne, cinq mois avant d'obtenir leur premier traitement.
Dans le cadre de ce sondage Léger, 300 Québécois ayant un diagnostic de cancer ont été interrogés. Les résultats dévoilent qu'entre le moment où ces derniers ont ressenti les premiers symptômes de la maladie et le moment où ils ont débuté leur traitement, le délai peut s'étaler sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois.
«Dans certains cas, on parle d'un délai de huit mois. 28% ont donc attendu plus de 20 semaines. Et le délai est souvent, je dirais, défoncé pour beaucoup de Québécois. Il y a actuellement 800 Québécois qui dépassent la cible fixée par le ministère de la Santé, c'est-à-dire que les patients puissent être opérés dans un délai de huit semaines. C'est donc près de 1000 Québécois qui attendent. Et attendre avec un cancer, imaginez ce que ça représente...»
- Paul Arcand
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