Nous sommes à moins d'un mois des Jeux de Paris. Pour l'occasion, Jérémie Rainville accueille deux journalistes qui les ont vécus de près.
Simon Drouin, journaliste à La Presse spécialiste dans le sport amateur qui a couvert tous les Jeux depuis ceux d'hiver de Salt Lake City, en 2002, ainsi qu'Alexandre Pratt, également de La Presse, qui en a vécu trois, dont les deux présentés durant la pandémie.
Premier bloc
Leurs moments forts aux Jeux
Alexandre Pratt
- L'accès total aux athlètes aux Jeux de Tokyo
- La finale de soccer féminin, remportée par les Canadiennes
Simon Drouin
- La victoire du Canada contre les États-Unis au hockey en 2002
- Joannie Rochette qui patine après la mort de sa mère
- Les huit médailles de Michael Phelps
Autres sujets discutés
- La préparation avant les Jeux
- La nécessité de trouver une histoire à raconter
- De savoureuses anecdotes en judo, trampoline et en hockey féminin
Source: Simon Drouin, Alexandre Pratt et Jérémie Rainville/Cogeco Media
Deuxième bloc
Est-ce que les journalistes dorment durant les Jeux?
Simon Drouin prend des cachets pour dormir tellement il est survolté.
Alexandre Pratt note que certaines épreuves se terminent vers 23h... au moment où le travail des journalistes commence. Souvent, on se couche tard.
Autres sujets discutés
- La barrière de la langue
- Les difficultés de couverture durant la COVID
- Le temps passé dans les transports pour les journalistes
- Doit-on - ou pas - prendre une petite bière une fois de temps en temps?
- La montée d'adrénaline des journalistes à trois semaines des Jeux
Est-ce qu'Audrey Leduc - qui accumule les records canadiens sur piste depuis des mois - peut gagner une médaille individuelle?
Alexandre Pratt: «En relais, ce n'est pas impossible»
Simon Drouin: «Je pensais plus aux épreuves individuelles... Si elle a une place en finale, si elle a un couloir... Rien n'est impossible. Une chance de médaille, ça serait vraiment extraordinaire. Mais juste faire une finale, ça serait pour moi un accomplissement fantastique.»
On les écoute...
