Le maire de Québec, Bruno Marchand, tient à taxer, au coût de 11$, chaque chat de la ville, notamment pour contrer les bris que leurs litières produisent dans la gestion de déchets. Caroline Gamache, de l'organisme Chat Canada, affirme qu'il y a d'autres façons que cette taxation.
Au micro de Martin-Thomas Côté, elle explique qu'en effet, les litières agglomérantes contiennent de l'argile qui durcit, lorsqu'il est chauffé dans l'incinérateur, mais que ce n'est pas tous les propriétaires qui utilisent ce type.
Pour faire front à cette sorte de litière, Mme Gamache propose de taxer directement celle qui contient de l'argile, en animalerie.
« Même les gens qui n'utilisent pas la litière pour le chat, exemple votre voisin fait de la mécanique dans son garage, il a des taches d'huile et il met de la litière dessus [...] ces gens-là contribueraient aussi, parce que, visiblement, ils font partie du système de la litière... »
Écoutez l'intégralité de l'entretien...